Les enjeux sont nombreux autour de l’accueil des élèves allophones.
De plus en plus nombreux, leur prise en charge peut être très longue et préjudiciable à leur intégration.
Une fois accueillis, ces élèves bénéficient de 12h pour acquérir une maîtrise minimum du français au cours d’une année scolaire, dans la plupart des cas.
Les sections UPE2A sont par ailleurs largement insuffisants compte tenu du nombre grandissant d’élèves allophones.
Mais comment assurer à des élèves dont le parcours et/ou la scolarité sont très différentes un accueil digne avec une si faible prise en charge ?
L’objectif de ce stage est de regrouper les coordonnateurs des UPE2A et les collègues qui se sentent concernés par ce dispositif.
En présence de Jérôme Motard, responsable du SNES national en charge de ces questions d’inclusion, la journée sera l’occasion de partager les expériences et les fonctionnements divers dans l’académie.