Flexibles à gogo, rémunérés au minimum vital et sous-payés avec des salaires qui n’avancent jamais, en butte souvent aux pratiques illégales de l’Etat employeur comme la vacation, ce sont :
Ils sont entre 20 et 25 000 et empêchent le système de craquer.
Le président de la République s’est engagé à « les titulariser pour ne pas les maintenir dans la précarité ». Un projet de loi est annoncé à l’Assemblée nationale à l’automne prochain.
Où en est leur situation ? Où en sont les promesses ?
- 11 h : prises de parole des différentes académies sur la situation des précaires et animation
- 12 h 30 : conférence de presse sur le remplacement les mesures envisagées par le gouvernement pour les non-titulaires
- 14 h : départ des délégations auprès des groupes parlementaires et au ministère